Sortie de chantier !
6 nouvelles conférences gesticulées vont voir le jour à Dullin, au château partagé. Ratez pas
Sortie de chantier : 4 nouvelles conférences gesticulées
Au château partagé, Dullin (73)
Jeudi 4 juillet 19h30 : Déborah
C’est l’histoire de la soif d’une enfant de paysans bourguignons : soif de comprendre, d’apprendre, de savoir et de réaliser adulte, dans une chorale «CSP++», que les gens pleins de savoir légitime n’arrivent pas à faire pousser des radis sur leur balcon, et qu’ils ont perdu la notion du temps. Pour sauver la planète, il faudra sans doute arrêter d’avoir honte de nos origines paysannes ?
Vendredi 5 juillet 19h30 : Michel et Emmanuelle Phillipo
L’itinéraire hors du commun d’un couple de profs belges, que rien ne prédestinait à construire leur propre maison en terre crue, sauf quand il a fallu se sauver, fuir les lobbys du ciment...
Emmanuelle et Michel Philippo retracent leur parcours de vie depuis l'achat de leur maison près de la plus grosse cimenterie d'Europe. Lorsque celle-ci s'est mise à brûler des déchets toxiques, ils se sont installés dans un petit village écologique où ils ont créé une association qui milite concrètement contre le changement climatique, en proposant la construction en paille et en terre crue comme alternative au ciment!
Une histoire qui est l'occasion de nous expliquer les enjeux environnementaux de la construction et les possibilités qu'offrent ces "nouveaux matériaux anciens".
Samedi 6 juillet 11h : Agathe
Agathe y raconte les déboires corporels de son quotidien de femme, de son enfance jusqu'à maintenant, et ses tentatives plus ou moins réussies pour rentrer dans son corset sociétal.
Samedi 6 juillet 15h30 : Gwennyn
Les chattes ont elles besoin de faire des chatons pour s'épanouir ?
Gwennyn s’interroge sur son désir ou non d’avoir un enfant. A travers son parcours personnel,les questionnements liés aux enjeux écologiques, elle questionne notre société pour laquelle la maternité - et plus généralement la parentalité - serait une condition sine qua non au bonheur. Ne serait-il pas opportun de remettre en question la culture nataliste et de permettre à chacun.e de faire ses choix sans subir de pression ?